
La Coupe du monde féminine s’est ouverte sur une salutation élaborée du peuple maori de Nouvelle-Zélande et des peuples des Premières nations d’Australie.
Dans un moment destiné par la FIFA à souligner les racines culturelles des co-organisateurs du tournoi, la Nouvelle-Zélande et l’Australie, ainsi que l’unité internationale, la cérémonie d’environ 10 minutes de jeudi s’est concentrée sur des groupes de personnes se réunissant pacifiquement au centre de l’Eden Park d’Auckland.
Pour la Nouvelle-Zélande, des volontaires ont tenu en l’air une représentation artistique d’une raie géante, qui, selon les croyances traditionnelles, aurait été capturée par le demi-dieu Maui et transformée en ce qui est devenu l’île du Nord du pays. Un serpent arc-en-ciel géant, représentant l’Australie, a également été retenu par le casting et a rejoint la raie.
La cérémonie s’est terminée par la remise du ballon de match officiel aux États-Unis, aux champions de la Coupe du monde 2019 et 2015 et au champion du Japon 2011, au milieu de terrain pour représenter le koha maori, un cadeau aux 30 autres équipes en compétition.
Les 32 pays ont ensuite été présentés sur les écrans vidéo du stade, tandis que les danseurs ont exécuté une routine d’unité dans des costumes inspirés des 32 maillots que chaque pays portera. BENEE et Mallrat ont interprété la chanson officielle du tournoi, Do It Again, à la fin de la cérémonie.
Juste avant le coup d’envoi, une minute de silence a été observée pour les victimes d’une fusillade meurtrière survenue plus tôt jeudi dans le centre-ville d’Auckland. Les fusillades n’étaient pas liées au tournoi mais se sont produites près des hôtels des équipes.
Poster un Commentaire